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Présentent |
Lundi
11 mars 2013
à
20h15 au Club 6 |
Tarif
préférentiel de 5 € (par entrée)
sur
présentation de votre carte des Fondus Déchaînés
Sinon
Tarif habituel Club 6 |
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Séance
accompagnée par Kaléo La Belle,
réalisateur
et Jean-Luc de
Saint-Just,
de l'Ecole Psychanalytique de
Bretagne,
membre de l'Association Lacanienne International
En partenariat avec Double Vue |
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Date de
sortie cinéma : 12 octobre 2011 Réalisé
par Kaléo La Belle Genre :
Documentaire Américain,
suisse Durée : 01h35 min |
A 70 ans, Cloud Rock est un personnage hors norme. C’est un hippie
de la première heure, un de ceux qui n’a jamais renoncé
à son idéal : prendre des drogues, être libre,
individualiste, connecté avec l’univers. Ses deux grandes
passions sont la marijuana et le vélo. Kaleo a 35 ans. Kaleo
est le fils de Cloud Rock. Il n’a vu son père que deux fois
depuis l’âge de 3 ans. Un jour, Cloud Rock envoie une lettre
à Kaleo et lui propose de faire une randonnée cycliste
dans la région du volcan Mont Saint-Helens, entre Seattle et
Portland. Un moyen de (re)nouer les liens entre père et fils.
Une randonnée pour remonter le temps d’une époque, de
l’épopée des mouvements hippies des années 60
et 70. Une manière forte de revenir sur des questions
essentielles : la parentalité et ses responsabilités |
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Télérama
Prénommé
Ganja à la naissance, élevé dans une communauté
hippie puis abandonné à l'âge de 5 ans, Kaleo La
Belle pouvait en vouloir à son père. Devenu adulte, et
réalisateur, il part en randonnée cycliste avec son
géniteur. Pour lui demander des comptes, et tenter de le
comprendre. Cloud Rock, qui s'est défaussé de ses
responsabilités pour vivre en toute liberté «
quarante ans de défonce », pourra paraître un
monstre d'égoïsme. Et pourtant, à l'instar de son
fils, qui « aimerait tellement lui en vouloir », difficile de ne pas être séduit par le septuagénaire
accroché à ses rêves de jeunesse. Au-delà
de la chronique familiale, cet émouvant documentaire dresse un
bilan désenchanté de la génération flower
power, Avec un constat amer : les hippies restés fidèles
à leurs idéaux ont condamné leurs proches à
souffrir...
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